Je veux être sans pitié. Ca soulage.

||> J’ai l’envie soudaine de m’adresser à une personne en particulier, une personne qui saura se reconnaître, pour enfin lui dire à quelle point je la déteste, et à quelle point j’aimerai la voir mourir (hummmm, trop trop bon). Elle fait partie de la catégorie de ceux que l’on aurai aimé ne pas connaître, ne jamais rencontré, quitte à les délaisser et les laisser crever ; la catégorie de ceux qui servent à rien, et qui ne sont qu’une unité de plus sur une échelle démographique dans une région perdu ; cette sorte d’individu qui dérange sans même le comprendre, et qui parfois même se dérangent eux même, et puis s’admirent entre eux, entre gros bof, entre chieur et chieuse ; cette espèce intemporelle de couillon qui ne disparaît pas assez vite, en nuisible absolue, et qui se propage à une vitesse que personne ne maîtrise. C’est d’une de ces personnes bien particulières dont j’ai envie de parler.

Tous les mots qui me viennent à la bouche pour te décrire sont hideux. On peut rester dans le classique, et dire que t’es moche et que tu pues pas mal le matin au réveil, que ton odeur est fétide et qu’elle donne mal à la tête, qu’elle file le bourdon pour la journée, dégoûtant de tous les aspects esthétiques du corps et de son fonctionnement intime. Tu es le Gargamel qui a annihiler le stroumph que je suis, t’es l’animal cruel que mon appendice nasal fuit.

On peut être cosmopolitain, et dire que tu ne m’as donné aucun plaisir, et que tu es inapte à la procréation. Pour aller plus loin, tu es la personne la moins douée que j’ai connu. Il existe en toi la faculté de dégoûter du sexe et de changer un obsédé sexuel en un garçon prude, non pas par l’esprit, mais par le simple usage de son corps. On peut être cosmopolitain et expliquer que tu m’as confondu à un klinex, que tu t’es mouché dans moi, et que je n’ai pas particulièrement apprécié ta manière de faire ; et expliquer que tu m’a enlevé le sens commun de l’innocence prépondérante à chaque être, filant dans la pente glissante qui sépare les deux aspect de la dichotomie moderne, de la plénitude sexuelle vers l’abstinence volontaire et la sexualité refoulée.

On peut être taré et absoudre tes actes par la connerie qui te fonde. Dire que tout pourrai sans doute s’expliquer par une maladie mentale, une maladie dont le corps entier de la médecine aurai peur tant elle serai impensable d’un point de vue strictement physiologique et neurologique, une maladie sans sens, une maladie qui a du mal à se dire, qui mal à dit mourra un jour d’avoir parler, d’avoir déblatérer toutes ces conneries, funeste cargaison d’une pensée extraterrestre, d’individus d’une autre planète à l’intelligence inférieure. Je suis pas docteur moi ! Tu as du confondre.

On peut rêver, et penser que tu n’existe pas, que t’es qu’une illusion à la con, que je t’ai jamais connu, et que je délire tellement ça fait faut tout ce que je dis sur toi. On peut toujours rêver, mais là, tu vois, j’ai du mal.

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Je te hais

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