31 mai 2010
Les effrontés
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Qui mieux que l’effronté jamais ne marche le jour
Des lumières de ses yeux coulent à l’oreille des anges
Il a vu nuits entières sans étoile, sans sommeil
Il t’expire à l’éveil d’un doux triste à l’envers
Dieu de l’aigre et l’étrange sur ton corps désireux
Qui pire que lui toujours s’écrit qu’il t’a aimé.
G.S.
Les Effrontés
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